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CHRONiQUES MUSiCALES

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Deux ans après...

Klaus Schulze
101, Miky Way (2024)


Deux ans après sa mort on sortit un posthume de Schulze, ça pourrait m’intriguer...

Eh bien non...

Car j’y trouve, encore, ce que j’aime chez lui, ces climats longs et vaporeux, plein de mystère et où ça plane tant et plus.

C’est le cas dans les premiers thèmes et leurs différentes parties, "Alpha" et "Infinity", le bien nommé.

Ensuite, passée la moitié du disque, notre claviériste en tous genres se la joue tangerine-jarre-dream et, là, question dream, ça ne le fait pas vraiment et j’apprécie moins même si Schulze s’avère bien plus prenant que les artistes susnommés.

Au final, on peut dire que le disque est bien sûr dans la continuité mais à un degré moindre de ce qu’il avait proposait durant quelques décennies d’où ressortent "Irrlicht", "Cyborg" et surtout "Timewind".