Deux ans après sa mort
on sortit un posthume de Schulze,
ça pourrait m’intriguer...
Eh
bien non...
Car
j’y trouve, encore, ce que
j’aime chez lui, ces climats
longs et vaporeux, plein de mystère
et où ça plane tant
et plus.
C’est
le cas dans les premiers thèmes
et leurs différentes parties,
"Alpha" et "Infinity",
le bien nommé.
Ensuite,
passée la moitié
du disque, notre claviériste
en tous genres se la joue tangerine-jarre-dream
et, là, question dream,
ça ne le fait pas vraiment
et j’apprécie moins
même si Schulze
s’avère bien plus
prenant que les artistes susnommés.
Au
final, on peut dire que le disque
est bien sûr dans la continuité
mais à un degré
moindre de ce qu’il avait
proposait durant quelques décennies
d’où ressortent "Irrlicht",
"Cyborg"
et surtout "Timewind".