Dans la série il-reste-toujours-un-album-de-Miles-Davis-à-chroniquer-ou-pas
voici en ce triste jour Amandla
d’un musicien qui fit
jadis Kind
of blue et
Bitches
brew,
monuments du jazz pour tous.
C’était pas rien
!
Ici, le vieux Miles nous proposait
avec l’aide du détestable
Miller (Marcus de son prénom)
un album de disons jazz-rock
(encore que rock !) aseptisé,
fade, banal, terne, avec des
claviers abominables, le tout
sans personnalité comme
si le gars était à
la traîne des trucs les
plus mainstream du jazz fusion
de l’époque. Diantre
!
Rien ne ressort de pertinent
de ce disque, comme dans Tutu
ou Siesta,
soit un truc glacé et
édulcoré avec
une production qui donne froid...
et en plus, la pochette est
moche...