Avec
6 Soft Machine continuait
comme avec 5 dans une
fusion banale avec peu d’attrait
mais avec comme nouveauté
(si l'on peut dire) Karl Jenkins
aux claviers et surtout au saxo.
Les gars jouent bien mais sans
réelle personnalité,
fraîcheur ou âme,
mais bon, ne soyons pas trop sévère
car il y a bien “The Soft
Weed Factor” agréable
sur un thème répétitif,
“Chloe and The Pirates”
plus profond moins stéréotypé
et “1983” qui termine
l’oeuvre de façon
quelque peu dramatique et la pochette
est tellement vilaine que j'ai
mis le verso à la place.
Sad Machine !
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la
chronique d'un autre disque
de 1973
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Tales
From Topographic
Oceans
Yes
... ils étaient
du soleil !...
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