Le
Roi Des Montagnes
Willy Rozier (1964)
Dans
la série partons-à-la-recherche-du-film-français-le-plus-nul-de-ces-cent-dernières-années,
voici, cher lecteur cinéphile,
en ce sublime jour, un roi des montagnes
qui n’est pas loin de décrocher
la timbale.
Je ne t’en raconte pas l’histoire
car elle est nulle et je sais que,
pas con, tu n’iras pas voir
ce film où il y a un scénario
à la ramasse, des acteurs
qui jouent n’importe quoi,
n’importe comment, avec des
dialogues lamentables et soi-disant
de l’humour car ce serait
une comédie.
Et
en bonus (malus) on a droit aussi
à the one and only John Lefebvre
qui, n’étant pas à
un nanar près, joue, sans
trop y croire quand même,
un parigot au vocabulaire imagé
et coiffé d’un irrésistible
perruque évoluant dans un
pays parait-il vers les Balkans,
là-bas, loin,
Bref, alors que jusqu’à
présent l’étonnant
Terminus (voir chronique
ICI),
était en tête du nanar
award voici que ce roi devient premier
en attendant un autre prétendant
qui ne saurait tarder...
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