Voici
un vieil album de chez la maison
Genesis où on était
moins nombreux qu'avant et aussi
moins éparpillé.
C'est à dire après
l'époque des costumes de
Gabriel plus rigolos que ceux
de Bowie, des morceaux de vingt
minutes plus chiants que la lecture
d'un bouquin d'Alain Bentolila,
des délires aux mellotrons
aussi emmerdants que l'écoute
des oeuvres complètes d'Henri
Dès, des jolies petites
interventions de boutiquier de
Steve Hackett moins impressionnantes
qu'un pet de mouche un jour de
Mistral dans la Crau...
Bref, un énième
Genesis moins progressif (tu l'as
compris et je vois que tu suis,
c'est bien) et aussi avec un chanteur
nommé Phil Collins compensant
le tout plus dans la joliesse
mielleuse à deux balles
que dans un néo-esthétisme
progueux. Comment s'appellent
les deux autres demanderais-tu
pour faire l'intéressant
? Eh bien, ce n'est pas très
primordial en fait.
Du coup, le groupe se rappellait
un peu ce qu'il faisait avant,
tout en essayant de faire autre
chose sans avoir beaucoup d'idées.
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POUR
tOUt SAVOiR SUR LE GROUPE
GENESiS
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Le
Fabuleux Destin
!
Genesis
...
Du mur du
jardin au
retour espéré
de l'homme-fleur...
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