Situons d’abord un peu le
gars Tim. On l'avait entendu l'autre
année (voir ICI)
avec le gars Wilson plus connu
même si on peut se demander
pourquoi.
Bowness reprend un peu ici de
ce qu'il faisait avec No-Man,
non cité dans le paragraphe
ci-dessus, mais, cette fois-ci,
seul bien sûr et avec moins
d’idées, d’instrumentations,
et de titres qui durent trop peu
pour pouvoir exprimer quelque
chose.
Du coup, "Powder dry",
c’est un catalogue de petites
chansonnailles vides, fades et
ternes avec des vocaux sans feeling,
le tout baignant dans un sucré
electro-pop-prog peu engageant
et vite soporifique.