On trouve dans ce live les titres
de Waka Jawaka et autre
Grand Wazoo dont j’ai
parlé plus loin, avec comme
il se doit des tonnes de cuivres
qui semblent déchaînés,
libérés mais, en
fait, cliniquement contrôlés.
Zappa ça déconne
mais dans la rigueur.
La musique est originale, certes,
et parfois un peu ardue tout dans
l’extrême complexité,
souvent proche du jazz dans les
normes (solos entre autres) et
de temps en temps pas loin de
la musique qu’on pourrait
appeler poliment "savante",
du jazz dit "free" aussi
et même avec quelques légers
rappels de musique "populaire"
ou... militaire.
Et, bien sûr, avant de se
lancer dans l'écoute de
cet autre posthume quelque peu
surprenant, parfois froid, mais
souvent plein de moments "puissants",
il faut déjà aimer
le son big band et avoir souvent
baladé ses esgourdes du
côté des nombreux
Zappa "non-commerciaux"
dont on peut retrouver quelques
chroniques ici-même où
on n’a pas eu peur de se
jeter parfois sans filet dans
quelques délirantes œuvres
du célèbre moustachu.
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l'image
du jour
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En
ces temps anciens
Zappa était
tellement overbooké
qu’il
avait fait installer
un téléphone
dans ses chiottes
!
- Allô
? Qui est à
l'appareil ?
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