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Malgré le
cheval fou

Neil Young with Crazy Horse
Psychedelic Pill (2012)

 

Perso, je suis assez fan de Young qui a fait malheureusement quelques rondelles à éviter mais, surtout, un maximum de belles choses qui vieillissent aussi bien que moi. C’est dire.

Et de cet ancien compagnon de David, Stephen et Graham, j’aime aussi bien les trucs folk intimistes que les grosses choses rock bourrées de guitares lourdingues et de préférence avec le Crazy Horse, le bien nommé.

Eh bien, ici on a le Crazy Horse, les guitares lourdingues et les solos au long cours du père Young (parfois même très longs) et malgré tout, j’avoue que j’ai du mal. En plus les mélodies sont plutôt faiblardes (cf. "Driftin back" qui en malus traînaille plus de 27 minutes) et le son des guitares lasse très vite vu qu’on subit en plus "Ramada inn" qui dépasse ses seize minutes !

Des solos de guitare c’est bien (j’adore) mais ils sont trop longs et peu variés et ce son uniforme et cette rythmique bien trop agressifs pendant des plombes m’ont fait vite fuir vers un autre Young live dans la mouvance rock bien plus convaincant car les débordements guitaristiques passent mieux et tu peux en lire si tu veux la chronique en cliquant sur le chapeau du vieux Young ci-dessous.