Non,
mais t'as vu cette pochette ?
C'est pas du Roger Dean, ça
! Yes avait-il changé ?
Le prog était-il mourant
? C'est qui ce mec à poil
? L'existence précède-t-elle
l'essence ?
Bon, d'accord, ça fait
beaucoup de questions et moi,
tout ce que je sais, c'est que
Wakeman était revenu et
le Suisse Moraz s'était
fait la malle en embarquant sa
cargaison de keyboards. Pourquoi
? Je n'en sais fichtre rien car
il ne me l'a jamais dit et en
plus je cause très mal
l'helvète...
Perso,
je ne trouve pas cette oeuvre
de Yes primordiale. Mais le groupe
en a-t-il vraiment eues ?
De cette vieillerie, j'aime bien
le longuet et très 'progresssif'
"Awaken" (même
si la deuxième partie m'aurait
quand même suffi). La jolie
ballade "Turn of the century"
n'est pas faite pour me déplaire
non plus. En plus ce titre convient
très bien à la voix
d'Anderson (c'est le gars qui
chante). C'est beau ! Et Howe
? Il est à son avantage
aussi et impérial. Moi,
je te dis, c'est un sacré
gratteur... enfin, c'était.
Quant au reste de cet album, c'est
loin de me convenir entre cliché
prog et prog-pop. "Going
For The One", "Wonderous
Stories" et "Parallels"
sont un ton en dessous et on ne
savait pas à cette époque
que Downes et Horn rejoindraient
le groupe.
O tempora, o mores comme
disait Jon Anderson.
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l'image
du jour
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Un
moment dans la longue
et
merveilleuse histoire
du groupe Yes !
Bien
qu'étant le Yes
le mieux coiffé,
Patrick Moraz
ne jouait pas sur "Going
For The One".
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