"Dondestan",
c'est un peu jazzy, un rien
expérimental, un chouïa
pop, avec la voix particulière
de Wyatt et en bonus des claviers,
beaucoup de claviers (synthés
et piano).
Comme d'habitude chez Wyatt
il y a souvent une certaine
ambiance très éthérée
que renfonce la voix tout en
fragilité du Robert.
Cest ce Wyatt-là que
je préfère.
"Catholic architecture",
"Costa", "N.I.O.",
"Lisp service" plus
atmosphériques (pas loin
de "Alifib" de "Rock
bottom") sont agréables
et j'aime moins les pièces
plus jazzy, la façon
trop intimiste qu'a Wyatt de
traîter ce genre de musique
me convenant guère.
Bref, c'est quand même
un correct album de Wyatt qui
en propose rarement de médiocres.