John Wick est excommunié et du pognon a été mis sur sa tête. De fait, tout le monde veut sa peau. Pour s'en sortir, il voyagera en Afrique mais ça ne lui servira qu'à tuer d'autres gens puisqu'il finira à son point de départ avec Marc Dacascos sur les basques. Oui, Marc Dacascos. Il n'y a absolument aucune relève dans le cinéma d'action, ce sont les mêmes mecs qui reviennent se mettre des beignes atomiques à 55 ans. Bref, si tu veux la pacem, tu dois préparer la bellum. Et la bellum, John Wick, c'est sa came. Alors il sort ses pétoires et tue littéralement un tiers de la population mondiale, parfois à mains nues (le début du film, sans doute ce qu'on y trouve de mieux) et plus souvent avec ses flingues lors de phases de tir au pigeon durant lesquelles il affronte des imbéciles sans cervelle qui courent à découvert. De fait, "John Wick" est distrayant mais suffisamment répétitif pour te faire sentir ses 2h10.