Comme son titre l’indique
ce disque de jazz en big band
regarde fixement du côté
de l’Afrique. On a donc
droit à des arrangements
virils, des cuivres déchaînés,
des percussions omniprésentes,
des thèmes qui déchirent
("Bantu", énorme),
des solos de qualité
(surtout Clark Terry, trompette)
et des passages chantés
(que j’aime moins).
Du coup, entre Ellington et
Mingus, Weston trouvait largement
sa place avec ce disque souvent
fiévreux et jouissif