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The colours of ECM

The Colours Of Chloë
Eberhard Weber
(1974)


Je vais pas te dire que Weber c’est tout le jazz ECM... En fait, c'est le jazz ECM... mais pas que lui et bien d’autres dont j’ai déja parlé ici ou parlerai plus tard.

Du coup, dans ce disque, on s’applique question atmosphère et surtout du côté du SON. Et comme Weber joue de la basse, on en entend beaucoup bien sûr... mais du Weber. ©

Weber, ça va entre la musique classique contemporaine et le jazz dans le sens assez large du terme, avec un gars excellent aux claviers et qui s'appelle Rainer Brüninghaus, il mérite d’être nommé.

En plus, époque oblige (milieu des seventies), notre bassiste d’outre-Rhin s’approche aussi quelque peu des rivages jazz-prog façon Soft Machine... qui ne faisait pas de jazz ECM.

Au final, on a un album intéressant, plus varié qu'il y paraît au premier abord et avec bien sûr une belle ambiance et naturellement le SON ECM.