JS
Wagée
London
(2024)
JS
Wagée (Jean Sébastien,
on comprend qu’il se soit
lancé dans la musique)
propose ici comme un ancien
vieux nouveau disque du groupe
Genesis période Selling
England by the prog...
ou peut-être pas.
Et, pour ce "London"
avec une pochette qui fait plutôt
penser à un disque de
reprises de l’ancien bien
vieux groupe de Page (Jimmy),
JS n’a pas pu faire venir
le Gab pour pousser un peu la
prog chansonnette et du coup
il l’a fait lui-même
avec ses traumatismes post-genesisiennes...
ou genesiens, va savoir ?
Attention
! Ce n’est pas de la daube,
au contraire, c’est agréable,
pas du tout original, bien sûr,
là n'est pas le propos...
Et quel est-il (le propos) ?
Eh bien, il est celui de faire
du prog parce qu’on aime
ça, qu’on est nostalgique
aussi, que ça doit rappeler
quelque chose d'avant, enfin,
du temps de celui de l'ancien
groupe de Collins... pas le
second, ni le troisième
mais le premier.
Et comme cet album se souvient
un max de l’antédiluvien
combo de Banks ça n’a
pas grand chose de ce qui provoquerait
quelques impressions de fraîcheur
un tantinet jouissives mais
pourrait peut-être seulement
donner comme une envie d’aller
s’envoyer une rasade de
Genesis... ou pas.