ACCUEiL

disques

CHRONiQUES MUSiCALES

AUTRES

Je flingue !

The Velvet Underground
The Velvet Underground (1969)


Dans la série je-flingue-les-trucs-de-la-discothèque-idéale-des-autres voici aujourd'hui un disque du groupe The Velvet Underground qui avait pris son nom à un injecteur extracteur pour nettoyer le métro mais tu peux aller vérifier si tu as es doutes.

Dans cet album antique il n’y a plus John Cale, oh, comme c’est dommage ! Vois-tu, suite à un éclair de lucidité le gars avait décidé et après écoutes approfondies des précédentes oeuvres du groupe et en accord avec lui-même de quitter ses acolytes. Un certain Yule le remplace, Dieu sait pourquoi ? Il est sans le moindre talent mais le reste du groupe - qui aimerait avoir autant de succès que les pierres qui roulent - le trouve beau. Ca peut suffire.

"Candy Says" a des paroles qui ne vont pas avec la voix de Yule. Ca fait sourire. Lou Reed la travaille (?!), lui, sa voix. En pure perte. Il veut peut-être lui donner un rien de sensualité. Y’avait du boulot !

Et puis on a droit à "Pale Blue Eyes". La musique, les paroles et Reed atteignent les abîmes du médiocre. Bon, plus loin, c'est du pareil au même : textes hypernazes, mélodies à deux balles et même avec "The Murder Mystery" on a une tentative idiote de réaliser la rencontre de la musique contemporaine répétitive avec la pop fin 60’s. le tout avec des voix à mourir.

Bref, une oeuvre ridicule et soporifique.

_____________________________________________________________________________

l'image du jour
_____________________________________________________________________________

Un jour, Lou Reed avait fini par vouloir apprendre à chanter !

On n'a rien sans mal.