Dans la série je-flingue-les-trucs-de-la-discothèque-idéale-des-autres
voici aujourd'hui un disque
du groupe The Velvet Underground
qui avait pris son nom à
un injecteur extracteur pour
nettoyer le métro mais
tu peux aller vérifier
si tu as es doutes.
Dans cet album antique il n’y
a plus John Cale, oh, comme
c’est dommage ! Vois-tu,
suite à un éclair
de lucidité le gars avait
décidé et après
écoutes approfondies
des précédentes
oeuvres du groupe et en accord
avec lui-même de quitter
ses acolytes. Un certain Yule
le remplace, Dieu sait pourquoi
? Il est sans le moindre talent
mais le reste du groupe - qui
aimerait avoir autant de succès
que les pierres qui roulent
- le trouve beau. Ca peut suffire.
"Candy
Says" a des paroles qui
ne vont pas avec la voix de
Yule. Ca fait sourire. Lou Reed
la travaille (?!), lui, sa voix.
En pure perte. Il veut peut-être
lui donner un rien de sensualité.
Y’avait du boulot !
Et
puis on a droit à "Pale
Blue Eyes". La musique,
les paroles et Reed atteignent
les abîmes du médiocre.
Bon, plus loin, c'est du pareil
au même :
textes hypernazes, mélodies
à deux balles et même
avec "The Murder Mystery"
on a une tentative idiote de
réaliser la rencontre
de la musique contemporaine
répétitive avec
la pop fin 60’s. le tout
avec des voix à mourir.
Bref,
une oeuvre ridicule et soporifique.
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l'image
du jour
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Un
jour, Lou Reed avait
fini par vouloir apprendre
à chanter !

On
n'a rien sans mal.
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