Tout va mal, c’est triste,
je suis triste, on est triste,
Tommaso est triste...
Et
Tommaso raconte des choses tristes...
En plus, il a la voix un peu cassée
qui va avec ces trucs tristes
sur des mélodies tristes
qui racontent sa vie... euh...
triste.
Tommaso s’offre, seul mais
avec tristesse, et réussit
à me la communiquer...
Quoi ?... Sa tristesse bien sûr,
faut suivre un peu...
Du coup, je suis triste aussi,
tellement qu’à la
fin de la triste écoute
de ce disque triste, il me semblait
parfois comme entendre Morrison
et ses Doors, ce qui me rendait
encore plus triste et j’ai
eu d’un coup envie de fuir
seul sur une route aussi triste,
enneigée et droite que
celle de la triste pochette. Heureusement
que le regard doux et amical de
mon chat Clafoutis m’a empêché
de le faire...
Du coup, je reviens demain, je
compte sur toi...