Van
Morrison
Astral
Weeks (1968)
Aujourd'hui,
je voulais te parler longuement
du dernier chef-d'oeuvre de
Taylor Swift mais le webmaster
du site m'a dit que c'était
impossible car on se devait
quand même de temps en
temps de flinguer des disques
sinon plus la peine de s'appeler
effet larsen, alors
à la place, je vais te
causer - mais pas longuement
- d'un truc qui date de l'an
pèbre et nommé
"Astral Weeks" de
George Ivan Morrison de son
vrai nom Jim Morrison mais bon,
ça reste à prouver,
il faudrait peut-être
que tu vérifies l’info,
tu fais comme tu veux.
Cette chronique tient compte
uniquement de l’aspect
musical du disque étant
donné que tout le monde
de par chez nous n’est
pas obligé de comprendre
que ce dit le gars Van dans
cette œuvre. En plus, c'est
souvent une bonne chose de ne
rien piger à ce que racontent
les anglo-saxons dans leurs
chansons.
D’abord, la voix de Van
Morrison est assez agaçante,
trop aiguë, il bêle
sans arrêt et répète
souvent les mêmes mots
à l'infini. Et quand
sa voix monte un peu, ça
frise le mauvais goût.
Ensuite, les chansons sont pratiquement
identiques, aux mélodies
souvent quelconques et on a
l’impression d'écouter
toujours le même titre.
Ensuite, on a un accompagnement
vaguement jazzy et peu approprié,
avec ce violon parfois agaçant.
Enfin, l’atmosphère
est assez mélancolique
mais, bon, à la longue
ça fatigue un peu quand
même.
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l'image
du jour
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Les
moments les plus bouleversants
de la longue
et merveilleuse carrière
de Van Morrison !

Un
jour, il a rencontré
Dieu.
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