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CHRONiQUES MUSiCALES

AUtRES

Dans le pauvre

Trevor Rabin
Rio (2023)


Je te le rappelle si t’as oublié : Rabin fit partie de l’étonnante épopée 90125, Big Generator de l’ineffable Yes, sûrement pas la meilleure, dirons-nous, pas loin de toute objectivité.

Et après avoir fait autre chose que du Yes il revient et refait... du Yes, et façon eighties bien sûr... du moins dans les quatre premiers titres.

Jusque là, ça peut le faire à la rigueur, mais après, entre un truc entre le folkrock à l’anglaise, un peu de country, du rock banal, ayant depuis vite épuisé son quota Yes, le bon Trevor fait un peu dans le goût douteux avec toujours un max de claviers hyper ringards, des sons méga aseptisés et une voix quelque peu proche de celle de l’autre gars, le vieux Jon.

Plus loin, la nommée « These tears » est plus simple et peut intéresser puis malheureusement on termine un peu dans le pauvre avec des synthès qui craignent et quelques influences peu convaincantes de musique sud-africaine (son pays) pour un disque trop superficiel avec un son un max moche et quelque chose des oeuvrettes d’Anderson, l’autre ex-Yes.

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l'image du jour _____________________________________________________________________________

Les moments les plus dramatiques de la
longue et pénible histoire du metal-prog !


Encore un qui a appris que Mike Portnoy
venait de retourner chez Dream Theater.