Je te le rappelle si t’as
oublié : Rabin fit partie
de l’étonnante épopée
90125, Big Generator
de l’ineffable Yes, sûrement
pas la meilleure, dirons-nous,
pas loin de toute objectivité.
Et
après avoir fait autre
chose que du Yes il revient et
refait... du Yes, et façon
eighties bien sûr... du
moins dans les quatre premiers
titres.
Jusque
là, ça peut le faire
à la rigueur, mais après,
entre un truc entre le folkrock
à l’anglaise, un
peu de country, du rock banal,
ayant depuis vite épuisé
son quota Yes, le bon Trevor fait
un peu dans le goût douteux
avec toujours un max de claviers
hyper ringards, des sons méga
aseptisés et une voix quelque
peu proche de celle de l’autre
gars, le vieux Jon.
Plus
loin, la nommée «
These tears » est plus simple
et peut intéresser puis
malheureusement on termine un
peu dans le pauvre avec des synthès
qui craignent et quelques influences
peu convaincantes de musique sud-africaine
(son pays) pour un disque trop
superficiel avec un son un max
moche et quelque chose des oeuvrettes
d’Anderson,
l’autre ex-Yes.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus dramatiques
de la
longue et pénible
histoire du
metal-prog !
Encore
un qui a appris
que Mike Portnoy
venait de retourner
chez Dream Theater.
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