The
predator
Shane Black (1999)
Un
predator fuit un predator. Il se
crashe sur terre, McKenna (c'est
le héros sniper anodin) récupère
quelques artefacts et a ensuite
maille à partir avec les
predators, aidé d'une bande
de guerriers tarés et d'une
scientifique qui se bat comme une
navy seal tout en faisant la nique
à un méchant à
chewing-gum assez moyen et en sauvant
un enfant autiste cliché,
super intelligent, qui parle comme
un adulte et comprend le patois
extraterrestre (parce que). J'ai
simplement regretté qu'il
n'ait pas d'asthme. Ici, les bons
mots fusent, en toutes circonstances,
et même lorsqu'ils ont un
predator au cul. Les dialogues sont
pratiquement intégralement
conçus sur des vannes jusqu'à
ce que les personnages finissent
par avoir des répliques insensées,
simplement pour une répartie
rigolote (avec des bonheurs divers).
Entre approximations, facilités
éhontées et grand
n'importe quoi, "The predator"
est une distraction relativement
courte (1h45) qui tutoie le gouffre
de près.
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un
autre grand moment
de cinéma
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En plus d'être un
des plus grands artistes
de
son temps Jul est aussi
un formidable acteur !

Le
voici dans la scène
la plus terrifiante du
film "Predator Apocalypse"
jouant tout en subtilité
le rôle délicat
d‘un quidam qui
a eu le
malheur de se trouver
sur le chemin de l'extra-terrestre.
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