The Jesus Lizard
Rack (2024)

 

Les Jesus Lizard ont beau avoir un super nom de groupe, une pochette sympa qui pourrait faire penser à quelque musique douce, éthérée et nostalgique (bien que regardée en détail ça peut donner une idée), force est de le constater qu’ils sont plus bourrins qu'esthètes, lâchant plus qu’il se devrait la bride à un putain de barouf punkisant enragé.

La force (c’est le mot) des lézards c’est la puissance, l’énergie, quelques délirantes envolées à la gratte sympatoches, une véhémence incroyable, tellement qu’il faut écouter ça plutôt fort mais pas longtemps, non pas pour les voisins, mais pour soi.

Bref, arrêtons la musique et disons que par moments ça arrache trop d’autant plus que le gars qu’on a balancé aux vocaux faute d’autre chose fait le maximum (si l’on peut dire) comme s'il était plus préoccupé du fait qu’il était possédé par quelque truc de malsain que de tenter de chanter... et puis, pourquoi faire ?

_____________________________________________________________________________ l'image du jour _____________________________________________________________________________ Les moments les plus merveilleux du punk ! Johnny est le roi, il a eu la fève.