Talc
III
(2025)
Qui a dit que les disques instrus
étaient chiants ?
Sûrement pas moi, car
si celui-ci l’est (instru)
je le trouve intéressant.
Et pourquoi donc ?
Eh bien, parce que les gars
de chez Talc ne font pas comme
presque toujours dans ce genre
de projet :
soit de la performance à
outrance, du nombrilisme aigu,
de la technique en veux-tu,
en voilà, de l’esbroufe
même...
Non !
Talc fait dans le sobre sans
faire dans l'ameublement non
plus et avec quelques agréables
touches "heavy" en
bonus et malgré un final
quelque peu électronique,
les titres durent des plombes
sans emmerder rapidos.
Et
quelque part entre le post-machin,
le prog-truc et le psyché,
Talc, c'est cool.