Swans, c’est original mais
est-ce suffisant ?
Non, car pour avoir le droit de
l'être il faut impérativement
proposer une musique riche.
Deuxième question : The
beggar est-il riche ?
Oui... et non.
Sa richesse repose sur l'ambiance
que les gars de chez Swans savent
créer et même de
belle façon. C’est
à dire que tu te laisses
prendre, mais uniquement sur la
longue durée du morceau.
Et crois-moi ça dure.
D’un autre côté,
Swans, en avançant dans
l’album, tourne un peu à
la recette. Même trucs expérimentaux
baignant dans une sombritude exacerbée
répétés comme
à l’identique ou
presque. Et ce au fil d’un
album qui s’étire
un peu plus qu’il n’en
faut (2 heures et 1 minute quand
même) alors qu’on
a vite tout compris ou assimilé
ou ressenti.
Pour terminer, je dirai que ce
disque a la qualité première
de savoir me posséder...
mais un temps.
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un
autre grand
moment
de la vie culturelle
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Gims
figure parmi
les 5 penseurs
les plus influents
élus
par le magazine
Prout
en 2023.
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