Steven
Wilson
The
Harmony Codex (2023)
Voici
en ce beau jour dans la série
vérifions-si-les-soi-disant-génies-les-sont-vraiment
le dernier truc de Wilson dont
on peut remarquer déjà
en regardant la pochette qu’il
n’est pas un génie
de l’art plastique.
Ce disque évolue entre
prog moderne de série,
electro-pop répétitif,
un chouïa
de nu jazz, des relents floydiens
(le 5ieme titre, c’est
le mieux de l’album) et
en malus les sempiternels chœurs
et voix fades.
Certains thèmes sont
bien trop longs, changeant de
rythme en chassant toute fluidité
au fil de passages où
Wilson se cherche sans se trouver.
Notre laborieux Steven est un
artiste qui ne veut pas être
catalogué, va vers un
style puis l’autre, sans
profondeur ni caractère
et avec une production qui aseptise
tout et sans le moindre génie
mais comme ce dernier est une
longue patience, il peut toujours
espérer.