Spinal
Tap
Rob
Reiner (1984)
L'été 1994, souvenez-vous
: Black hole sun, won't you
come, les 25 ans de Woodstock,
Baggio tirait son pénalty
n'importe où, je découvrais
"Apocalypse now", Baz
Luhrmann et je regardais "Spinal
Tap". Il s'agit d'un faux documentaire,
disons un mockumentary (en français,
documenteur...), sur un groupe de
hard rock caricatural 80's, de pauvres
rockeurs glam égocentriques,
sexués et bêbêtes,
avec jeu de scène carnavalesque
et paroles parodiques. Sur une durée
fichtrement intéressante
(1h22), Reiner brasse les poncifs
des métalleux avec des projets
solos, la gonzesse du leader qui
provoque le split, les concerts
annulés, mais aussi des batteurs
victimes de combustion spontanée
et autres passages de diverse valeur
(c'est le principe du film à
sketches) dont les plus marquants
sont sans doute "Big Bottom",
Stonehenge, la pochette de "Smell
the glove", l'ampli à
11, et je vous laisse le choix du
reste. Quoi qu'il en soit, "Spinal
tap" trône dans ma dvdthèque,
avec son boitier mastoc, à
côté de "Presque
célèbre".
_____________________________________________________________________________
un
autre grand moment
de cinéma
_____________________________________________________________________________
En
plus d'être un des
plus grands chanteurs
de son temps,
Iggy Pop est aussi un
excellent acteur !
Le voici dans la scène
la plus torride de l'adaptation
américaine
de "Monique toujours
contente".
|
|