D’entrée les gars
annoncent la couleur (si l'on
peut dire) :
nous on a un putain de cafard
et on le montre...
Les titres sont longs, lents,
"crépusculaires"
annonçait même tout
à l'heure un site qui s’y
connait... Certes, Sólstafir,
ça a une atmosphère
particulière, calme, mais
bon,
les titres durent bien trop dans
le même registre sans exprimer
autre chose qu’une certaine
langueur mais je ne suis pas bercé,
je ne suffoque pas, tout blème...
Et, même, si dès
le deuxième thème
les gars s’excitent, pas
loin d’un truc qu’on
appelle à juste raison
"black metal", ça
ne le fait pas car c’est
tout dans l’identique, seulement
préoccupé de l’ambiance
avec des vocaux vraiment peu convaincants.
Et, aller au bout de cette œuvre
est une sorte de pensum et la
pochette est vilaine...
Mais, bon, au bord d‘un
volcan islandais excité,
en pleine tourmente hivernale,
ça pourrait peut-être
agir, je vais voir ce que je peux
faire, je te tiens au courant...