Ils sont revenus eux aussi et
j’en suis ravi car j’aime
la musique de Sigur Rós
et plus ils font bien sûr
encore du Sigur Rós, chouette
!
Cette
fois ci le groupe évolue
avec un orchestre symphonique
et toujours la voix spéciale
du chanteur, il s’appelle
Jónsi avec un
accent sur le o, lui
aussi, mais je ne sais pas comment
ça se prononce...
Átta, ça
veut dire huit comme
le huitième album des Islandais
et c’est toujours néo-classique
et non "post-rock" comme
on disait dans le temps au début
du groupe.
Tout ceci est très harmonieux,
bien sûr, dépouillé
aussi, même presque minimaliste
avec un concept qui se la pète
: le beau , la
paix, la nature, patin et couffin…
Et un superbe titre nommé
Blóðberg.
Ca sonne à l’identique
tout du long, sans aspérité
et donne à l’album
une impression d’uniformité
pas toujours appréciable
mais ça marche très
bien seul dans le noir le jour
où on a en a marre des
connards qui nous agressent et
de ce monde de merde et on écoute,
apaisé, l’album jusqu’à
son terme où le groupe
rejoint le musique électrique
ambient comme dans l’interminable
très beau dernier thème.
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LA
CRitiQUE D'UN AUtRE DiSQUE
DE 2023
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The
Harmony Codex
Steven
Wilson
... une longue
patience...
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