Déjà, tu regardes
la pochette, le titre du disque
et t’as tout compris :
ce disque est parodique.
Et de quoi me dirais-tu, toi qui
ne regardes jamais les pochettes
de disque ?
Eh, bien de quelque chose que
d‘aucuns appellent "heavy
metal épique et mélodique
".
Tu me crois pas ?
Eh
bien, écoute le gars proposé
au chant d’abord. Il réussit
tellement bien son truc que dès
les premiers instants, tu me marres.
Ensuite vise un peu la rythmique
rapide et enjouée, lourde
et assurée, c’est
tellement bien fait qu'on dirait
un vrai album du genre, même
que les solos de guitare sont
aussi bien réussis que
les originaux.
Epique ?
Là, j’ai eu du mal
et j’avoue que si les gars
s’avèrent diablement
désopilants, ils n'ont
pas réussi l’aspect
"épopée"
de la chose, on peut pas être
toujours au top.
Mélodique
?
Sûr que les gars, trop préoccupés
à se la jouer parodie et
à se bouger quand même
pas mal le cul, du coup, en ont
oublié de soigner les mélodies.
Tant pis.
Au final, enfer et damnation est
plutôt réussi dans
le genre malgré quelques
légères critiques.
Tu peux donc l’écouter,
ça te reposera facilement
du quotidien chiant et stressant
et ça te sera tout bénéfice,
n’ayant pas perdu ton temps
car comme disait Buster Keaton
: une journée où
on n’a pas ri est une journée
de perdue.
On
me souffle à l’instant
que ce disque est en fait premier
degré, merde, ça
fout en l’air toute ma chronique.
Désolé mais je vais
pas la refaire j’ai trop
de super CDs de musique répétitive
minimaliste en attente.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus exaltants
de la longue
et merveilleuse
carrière
du groupe Manowar
!
Depuis qu’il
utilise régulièrement
Silex Man à
la pierre de
Lascaux naturelle,
plus de problèmes
pour Joey De
Maio.
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