Tout
le monde connaît Rudess.
Eh oui, my friend, tu as raison,
c’est
ZE clavieriste
of Dream Theater the greatest
metal-prog machin in the world...
Et
là, il nous propose sous
cette laide et ridicule pochette
un album presque solo (with
a little help from quelques
progueux dont Wilson et Morse)
où il se lance dans des
reprises de morceaux de bravoure
du prog des années 70.
Oula. Aïe !
On
a droit à un titre du
Jordan sans intérêt,
d’autres de Genesis et
Yes (les deux pontes du genre),
de Gentle Giant (vieux groupe
marginal du prog d’antan
qu’il est bon d’encenser
aujourd’hui) et une face
du "Tarkus" d’Emerson,
Lake et Palmer (mais je ne sais
pas s’ils s’étaient
mis à trois pour la composer).
Il y a aussi un medley au piano
où on peut s’amuser
à reconnaître les
titres joués... si on
est un fan de prog pour lequel
est proposé cet album.
Je ne vois pas quelqu’un
d’autre se le procurer...
A part peut-être un fan
de Dream Theater.
Cet
album est à l’image
du bonhomme. Un peu trop expansif
(cf. ses interventions pianistissimes
dans "Soon", "Supper’s
ready" ou "I talk
to the wind") et avec rudesse
(hahaha) le virtuose Jordan
en fait trop bien sûr
mais n’est-ce pas finalement
le prog du propre... pardon,
le propre du prog ? Certes
rétorque-je, et dans
cet album - comme j’aime
le prog 70’s - j’y
trouve quand même quelques
passages sympas. Les reprises
de Yes, le titre de King Crimson
et le début de "Tarkus"
assez enlevé m’agréent
et ça ne me déplaît
pas du tout d’écouter
des vieilleries ainsi reliftées.
Quant
au reste, il est pour moi totalement
indigeste. Dieu que c’est
lourd !
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l'image
du jour
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Durant
l'enregistrement de
"The road home"
il y eut un
bel échange
d'idée entre
Rudess et Wilson !

-
Et si on reprenait
aussi "Poulet
me under "?
- T'es sûr du
titre ?
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