Dans
la série écoutons-de-la-musique-sacrée-et-surtout-des-stabat-mater-venus-d'Italie
voici celui de Rossini, le gars
qui a donné son nom à
un tournedos tandis que Napoléon
l'a donné à une
fine alors qu'aucun des nombreux
chanteurs les plus pénibles
du moment n'a encore donné
son nom à une daube.
Gageons que ça ne saurait
tarder.
Ce
"Stabat Mater" de
Rossini, c'est d'abord de la
musique romantique dont on connaît
les débordements. Ensuite
ça ne correspond pas
toujours à ce que j'attends
d'une œuvre de musique
sacrée. Tu en attends
quoi, toi ?
Et
même si le début
est assez fort et sombre, que
quelques thèmes brillent
par les voix, j'y trouve des
passages caractéristiques
de la musique italienne de cette
époque qui sont pour
moi un peu trop 'sautillants'
et un rien outranciers avec
en malus ces passages aux seuls
chœurs qui me sont plutôt
désagréables.
Et
comme c'est pompeux aussi, je
me lasse vite de tous ces débordements.
Bon, je te laisse, je retourne
dare-dare à mes Stabat
Mater de Vivaldi et Pergolèse.
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l'image
du jour
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Les
grands moments de
l'histoire de France
!
Napoléon
venant de s'envoyer
une bonne Fine.
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