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Double Stones

The Rolling Stones
Exile On Main St. (1972)

 

Dans la série y'a-toujours-un-truc-des-éternelles-vieilles-pierres-qui-roulent-à-chroniquer voici en ce jour béni un disque qui fait partie des nombreuses parutions d'un groupe dont j'aime assez les 33 tours d'avant 75 mais cet "Exile", bien que datant du début des 70's, j’avoue le trouver souvent ennuyeux et un peu en dessous d’autres précédents Stones qui ne figurent même pas dans la liste de ceux qui ont changé les rock-critics et dont j'ai déjà fait une petite chronique. (Je parle des albums, pas des rock-critics bien sûr, tu avais compris, toi qui lis mes chroniques sans te contenter de chercher la note ou d’aller directement à la conclusion, merci.)

"Exile", c’est souvent du country-rock passé à la moulinette Stones, soit un peu outrancier, avec ce rien de vulgarité qui a toujours été l’apanage du groupe et aussi bien sûr des paroles bien différentes de ce qui se dit habituellement dans le genre.

Mais bon, dans ce vieux machin de The Rolling Stones (en celte ; léstone) parfois dispensable avec des paroles souvent niaises, j'ai droit à quelques moments plus passionnants, quand même comme "Rock off" (texte un peu naze), "Rip this joint" (c’est le même thème musical avec un tempo différent) et surtout "Sweet Virginia", "Let it loose" ou "Shine a light".