Dans
la série y'a-toujours-un-truc-des-éternelles-vieilles-pierres-qui-roulent-à-chroniquer
voici en ce jour béni
un disque qui fait partie des
nombreuses parutions d'un groupe
dont j'aime assez les 33 tours
d'avant 75 mais cet "Exile",
bien que datant du début
des 70's, j’avoue le trouver
souvent ennuyeux et un peu en
dessous d’autres précédents
Stones qui ne figurent même
pas dans la liste de ceux qui
ont changé les rock-critics
et dont j'ai déjà
fait une petite chronique. (Je
parle des albums, pas des rock-critics
bien sûr, tu avais compris,
toi qui lis mes chroniques sans
te contenter de chercher la
note ou d’aller directement
à la conclusion, merci.)
"Exile", c’est
souvent du country-rock passé
à la moulinette Stones,
soit un peu outrancier, avec
ce rien de vulgarité
qui a toujours été
l’apanage du groupe et
aussi bien sûr des paroles
bien différentes de ce
qui se dit habituellement dans
le genre.
Mais bon, dans ce vieux machin
de The Rolling Stones (en celte
; léstone) parfois
dispensable avec des paroles
souvent niaises, j'ai droit
à quelques moments plus
passionnants, quand même
comme "Rock off" (texte
un peu naze), "Rip this
joint" (c’est le
même thème musical
avec un tempo différent)
et surtout "Sweet Virginia",
"Let it loose" ou
"Shine a light".