Rocky
ll
Sylvester
Stallone (1979)
Ce deuxième épisode
suit immédiatement "Rocky".
Apollo Creed et lui se retrouvent
à l'hôpital, le premier
avec la haine et le second s'en
moque pas mal. Parce que Rocky est
un mec simple. Ensuite il se marie,
flambe, fait des publicités
ridicules. Tu regardes un Rocky
pour voir ça, toi ? Moi non.
Pourtant on le suit dans sa recherche
d'emploi mais, sans diplôme,
il est refusé partout jusqu'à
se caser dans un abattoir duquel
il est finalement viré. Il
faudra le retour de Creed et ses
insultes télévisées
pour remettre Rocky en selle. Dès
lors, tu penses que "Rocky
2" devient un film de sport
sous prétexte qu'il y a un
entraînement fantasque durant
lequel Stallone va courir après
une poule. Tu as tort parce qu'Adrian
tombe dans le coma, pendant dix
minutes puis... ENFIN, Rocky va
faire de la boxe alors qu'il ne
reste que 30 minutes de film. ROCKY
2 : LA REVANCHE ! C'est le titre,
bon sang, qu'il se venge et qu'on
n'en parle plus ! Après 1h30
de calvaire, donc, il monte les
marches du museum of art de Philadelphie
puis on se tape un combat peu intéressant
durant lequel Rocky n'a pas de garde
pendant 14 rounds. Mais comme il
représente le peuple face
à l'arrogance du riche, et
grâce à son coeur,
il vaincra. Parce qu'un amateur
qui a du coeur peut terrasser le
professionnel endurci qui n'en a
pas. Parfois.
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un
autre grand moment
de cinéma
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Sylvester
Stallone jouant le rôle
principal dans
"Emile Jacotey :
le maître du jeu"
adapté
librement de l’œuvre
du groupe Ange !
On
se chante un tout petit
vin, on se boit un dernier
refrain et puis tranquille,
on va tous les déchirer…
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