Il
y a quarante cinq balais (putain,
déjà !), Rick Wright
(tristement décédé
en 2008), loin de Pink Floyd,
sortait cet album solo agréable
sans être renversant.
L'ensemble est assez cool, mélancolique
avec quelques beaux thèmes
sans qu'aucun ne ressorte vraiment.
Il y a un peu de sax (Mel Collins
qui a joué avec un peu
tout le monde dans le prog et
ses alentours), beaucoup de piano
bien sûr, la voix attachante
de Rick sans être extraordinaire,
quelques solos de guitare (Snowy
White qui jouera les guest dans
Pink Floyd et avec Waters en solo)
et naturellement un petit côté
"floyd" qui n’est
pas à négliger.
On a finalement ici un album sincère
et sans esbrouffe bien à
l’image du musicien, avec
quelques titres qui auraient aussi
bien pu figurer sur un album de
son groupe.