Dans
des temps plutôt anciens,
y’avait un groupe qui s’appelait
Journey où les gars faisaient
un truc honnête sans plus
mais par l’usage un peu
trop prolongé leur projet
plutôt ténu devint
rapidement creux, gluant et vain.
Récemment,
il est même revenu à
l’identique et en même
temps ou pas loin que Revolution
Saints, un supergroupe avec même
un gars de Journey et un nom pas
forcément judicieux car
tout dans le créneau de...
Journey : soit
mélodies un peu travaillées,
gentil hard-soft-rock et solos
de guitares sans idées
et juste parce qu’il en
faut dans le style.
Tout
ceci n’est pas moche bien
sûr, ni réellement
passionnant, juste dans les stéréotypes.
Et de par le fait qu’on
se retrouve encore dans un terrain
très pratiqué depuis
des lustres, ça ne soulève
pas vraiment l’enthousiasme
et le chanteur va même jusqu’à
me faire regretter le Perry d’antan.
Un comble.
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LA
CRitiQUE D'UN AUtRE DiSQUE
DE 2023
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Javelin
Sufjan
Stevens
... mélancolique...
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