Pas gonflés, les petits
gars de Queen avaient appelé
cet album "Made in heaven".
Bon, du paradis avec cette daube,
on en est bien loin, comme dans
pratiquement tous les albums de
Queen qui, d'années en
années, devenaient de plus
en plus mauvais... ou de moins
en moins inspirés. Ici,
on est à mille lieux du
rock que le groupe était,
en fait, sensé pratiquer.
Bon, je veux bien qu'il fasse
autre chose, qu'il prenne d'autres
directions mais il ne faut pas
exagérer. En plus, c'est
le dernier album de Mercury avant
sa mort. Et, j'ai bien peur que
s'il était encore en vie,
il serait en train d'enregistrer
une reprise de la célèbre
oeuvre nommé "The
imperial's violets" (en français
: l'amour
est un bouquet de violêêê-tes,
cueillons-cueillons ses fleurê-ttes).
Il se serait sans doute pris de
passion pour l'opérette
et les majestueuses interprétations
de Luis Mariano, au grand dam
de ses anciens admirateurs. Il
enregistrerait sûrement
" The women of Cadix"
(en français : la belle
de Cadix a des yeux de velouuuuuuuuuuuuurs
tchi-que-tchi-que-tchi-aïe-aïe-aïe...
Aïe !) faisant le désespoir
de son ancien guitariste nommé
Brian May et serait en studio
pour faire un remake de "Mexico"
: Mexi-iii-co
sous ton soleil qui chanté-iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
! O mama mia let me go ! Anyway
the wind blows...