Pour
Une Poignée De Dollars
Sergio
Leone (1964)
«
Pour une poignée…
» est l’un des classiques
du western spaghetti des sixties
avec l’ineffable Clint Eastwood
dont je préfère
la voix plus virile de celui qui
le double en français un
peu comme ce sera le cas un peu
plus tard avec Peter-Columbo-Falk...
alors que j’aime mieux la
vraie voix de Stallone même
si elle est moins marrante.
Comme les trois pélés
et les deux tondus qui viennent
se balader par ici (merci à
vous les gars) connaissent sans
aucun doute l’histoire de
"l’étranger",
flegmatique à la cool,
qui tire plus vite que son ombre
et la rivalité des deux
clans, je dirai seulement qu’on
trouve déjà dans
ce bien vieux film le visuel développé
à l’extrême
de façon presque caricaturale
plus tard avec « Il
était une fois…
» par le même Léone
avec des scènes comme sorties
tout droit d’une BD, des
gros plans étonnants, des
gars burinés, hirsutes,
avec des dents d’une blancheur
lavabo et l’inévitable
fossoyeur à la gueule pas
possible et dont on se demande
tant il est vieux s’il ne
va pas d‘un moment à
l’autre s’écrouler
dans un de ses cercueils alors
que je ne me suis pas écroulé
à la fin de cette fucking
phrase...
L’action
est bien menée, la musique
colle correctement aux images,
les personnages ont le look obligé,
les méchants le sont juste
ce qu’il faut et le mystérieux
Eastwood, avec son éternelle
clope, dégomme tant et
plus avant de se casser à
la fin sans perdre son flegme
ni qu’on sache vraiment
qui il est.
Mais, bon, bien que dans les stéréotypes,
pas loin de la parodie, ce film
restera à jamais celui
de la célèbre scène
du mulet susceptible : LE
grand moment de ce western où
force est de la constater je m’y
emmerde parfois un peu.
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un
autre grand moment
de cinéma
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Une des scènes
les plus terrifiantes
de la longue et atroce
histoire des films de
science-fiction horrifiques
!
Voici
l'angoissant passage
où l’équipage
du cargo
spatial ne sait plus
quoi faire pour lutter
contre
l'extra-terrestre qui
fait rien qu’à
larguer
des caisses dans "Alien,
le neuvième passager".
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