The Police fut un groupe un peu
trop surestimé en son temps,
c'est à dire les tristounettes
années 80 artistiquement
à peine plus riches que
la culture officielle d'un pays
de l'est de l'Europe de cette
même époque.
Ce
groupe a connu évidemment
le sommet des Top50 et, ce qui
est plus étonnant, la une
des revues dites spécialisées
de l'époque malgré
le fait qu'il fut plus souvent
qu'à son tour, sans réelle
âme, variétoche très
internationale et peu passionnante
à travers des chiées
de chansonnettes plus semblables
aux autres identiques qui étaient
pareilles aux mêmes et que
je ne supporte même pas
une écoute complète.
Trois
musiciens ringards dans l'impasse
et qui avaient essayé beaucoup
de choses sans grande réussite,
se font teindre alors en blond
et inventent à l'aube des
eighties une musique reggae-pop-rock-variété
joyeuse, guillerette, conviviale
et facile avec un minimum de titres
qui tenaient encore le coup tout
à l'heure ("Roxanne",
"Message in the bootle"
et peut-être "Driven
to tears" (aux paroles décalées
par rapport à la mélodie)
mais il ne figure pas sur cette
compil, c'est pas de bol). Soit
deux chansons et demi que l'on
peut chanter dans sa salle de
bains, selon les propres mots
de son chanteur, un surnommé
Sting. Comme "Alexandra-Alexandrie,
Voile sur les filles, raah ! Barque
sur le Nil, ah !" Rien de
bien profond donc et à
consommer avec modération.
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l'image
du jour
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Touche-à-tout
de génie l'ancien
chanteur
de The Police est aussi
un athlète de
haut niveau !
Le
voici se préparant
pour la compétition
catégorie plate-forme
de haut-vol des futurs
J.O.
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