Ca
débute fort avec le long
"Shine On You Crazy Diamond"
inspiré de quelques notes
de Gilmour à la guitare
est dédié à
Syd Barrett qui fut l'inoubliable
auteur de la célèbre
autobiographie : "C'est
moi que j'ai trouvé le
nom du groupe". Ce titre
est un peu dans la continuité
du "Echoes" de "Meddle"
sorti lui en 71, année
plutôt pauvre en chanterelles.
Le thème s'étire,
nonchalant, plutôt fluide,
les interventions à la
guitare sont de qualité,
ça plane.
Après
on a "Welcome To The Machine",
un chouïa longuet, un peu
trop chargé et plutôt
agaçant sur la durée.
Sur la face 2 ça commence
avec l'excellent rock, nerveux
et rapide "Have A Cigar"
chanté par Roy Harper
(Gilmour et Waters n'y arrivaient
pas, paraît-il).
Ensuite
il y a "Wish You Were Here",
ballade moyenne, mais sans le
saxophone emmerdant et avec
des paroles plutôt sympas.
Pour
finir, Pink Floyd sans doute
en panne d'inspiration rejoue
une deuxième fois "Shine
On You..." pour remplir
un peu le vinyle. Et c'est bien
sûr plutôt long
et gonflant avec le saxophone
emmerdant.
Au
final, je ne comprends pas vraiment
la quasi-unanimité laudatrice
autour de ce disque. Mais bon,
c'est plutôt court, Pink
Floyd était encore un
peu un groupe et ça reste
un de leurs moins mauvais.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus étonnants
de la longue
et merveilleuse
histoire du
groupe Pink
floyd !
L'autre jour,
lorsqu'il
joua pour
la deux cent
deuxième
fois "The
Wall"
en concert,
Roger Waters
regarda
s'il n'y avait
pas David
Gilmour dans
la salle.
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