The
mur, c'est un gros truc qui
a été vendu plus
de 23 millions d'exemplaires
et même un à Bédouès-Cocurès,
patelin que personne n'arrive
à situer en ce vaste
monde, c'est à peine
si moi j'y arrive, c'est dire.
Et
un pavé qui se vend autant,
c'est sûr que c'est pas
de la daube, t'en connais toi
des merdes qui se sont bien
vendues ? Ouais, bon...
Et en plus, c'est un album concept
tellement pertinent, que ça
vole bien plus haut que des
trucs déjà pas
dégueux où que
ça concepte aussi pas
mal comme "Putain, Tommy,
t'es sourdingue, ma parole"
de Townshend ou "Metropolis,
j'ai perdu la mémoire"
d'un quintet qui n'a pas fait
que la merde, crois-moi.
Et
le thème de cet album-concept,
fallait le trouver. Je te le
narre en faisant court car je
sais que t'as à faire
: y'a un gus
qui a construit autour de lui
un mur qui s'écroule
à la fin, on ne sait
pourquoi, son auteur ne l'a
jamais dit et du coup ça
reste un mystère et c'est
mieux ainsi car comme disait
un grand auteur dont j'ai oublié
le nom : sans
mystère il n'y a pas
d'amour.
Et
la musique, me dirais-tu ? Eh
bien, on atteint les sommets,
même qu'à côté
cet autre concept de Bowie nommé
quelque chose comme "La
gamelle à Ziggy",
mondialement reconnu comme un
autre chef-d'oeuvre, c'est "Desintegration
Bouillabaisse" du groupe
de death metal Bugne Horrifik.
En
plus, cerise sur le mur, le
génie qui a composé
ce chef-d'oeuvre a bien voulu
dans sa grande bonté
laisser un gentil petit gars
venir en bonus de temps en temps
gratter un peu sa guitare. Merci
votre grandeur.
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l'image
du jour
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Les
instants les plus
bouleversants de la
magnifique
carrière du
grand compositeur
de "Le mur"
!
Roger Waters est super
content : il a pu
sauver une brique
après la chute
du mur.
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