Cet
album de Pink Floyd fut la b.o.
d'un film nommé "La
vallée" et que je
n'ai jamais vu. Il paraît
que je n'ai rien perdu.
Ici,
pas de gros délires psyché
à rallonge, pas de démesure
à la "The Wall",
pas de prétention soporifique,
encore moins de bruits divers.
Seulement quelques petites chansons
pop à côté
d'instrumentaux plutôt
sympas et d'un petit titre planant
pour finir ("Absolutely
Curtains" où l'on
entend les chants de peuplades
lointaines. De la world music
avant l'heure). Comme quoi même
quand ils ne veulent pas inventer,
les Floyd inventent encore.
"Obscured
by clouds" n'est pas forcément
mauvais. Au contraire. Personnellement
j'aime bien le début
avec les petits trucs à
la gratte par Gilmour. Ca s'appelle
"Obscured By Clouds"
et "When You're In".
C'est frais. Ca s'étire
à peine. Ca n'a vraiment
le temps de devenir emmerdant.
C'est plutôt agréable.
Après
on a une suite de chansons souvent
quelconques, il ne faut pas
le nier. Et elles ne marquent
pas vraiment l'esprit. J'en
veux pour preuve le fait que
je ne souviens même pas
de leur titre. La seule qui
m'ait marqué, c'est "Free
Four" qui m'a accroché
avec son thème plutôt
entraînant.
A
l'écoute de cet album
on peut quand même constater
qu’il est quand même
loin d'être ce que le
groupe a fait de mieux.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus merveilleux
de la longue
et
fabuleuse
histoire du
groupe Pink
Floyd !
Ce
jour-là,
Roger avait
gagné,
c'est lui
qui
avait les
pompes les
plus vilaines
!
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