Birdy,
c’est la musique d’un
film où il y a un gars
qui fait comme l’oiseau,
ça vit d'air pur et d'eau
fraîche, un oiseau, d'un
peu de chasse et de pêche,
un oiseau mais jamais rien ne
l'empêche, l'oiseau, d'aller
plus haut...
Oui, bon, mais Gabriel va-t-il
plus haut ?
Peut-être pas, même
si cette musique possède
une certaine atmosphère
souvent assez prenante. C’est
normal, c’est la musique
d’un film… que je
n’ai pas vu d’ailleurs,
il fallait le signaler.
Gabriel, c’est un gars qui
un jour a flashé sur les
percus et la musique du maghreb
et t’en balance, en veux-tu,
en voilà, dans toutes ses
musique de films et même
dans "Long way home"
dont je ferai sûrement une
chronique ici même sur effet
larsen le site qui aime les
musiques de films même faites
par Gabriel...
Bon, le Gabriel, par moments,
il ressort - avec des effets différents,
une trompette en sus (en l’occurrence
celle de John Hassell grand spécialiste
du souffle brumeux) et avec des
percus aussi - ressort dis-je,
des thèmes déjà
usités dans ses précédentes
parutions en solo... Mais je ne
lui en tiens pas rigueur ; qui
ne l’a pas fait avant lui
et pas des moindres ? Tu ne le
sais pas ? Eh bien, passons.
Birdy, c’est de
la musique de film avant tout.
Et, comme toute musique bâtie
pour un film, elle possède
quelques moments magiques qui
se suffisent à eux-mêmes
et d’autres où on
aurait peut-être intérêt
à voir en même temps
le gars qui se prend pour un oiseau,
ça vit d'air pur et d'eau
fraîche, un oiseau, d'un
peu de chasse et de pêche,
un oiseau mais jamais rien ne
l'empêche, l'oiseau, d'aller
se faire mazouter…
Bref, une correcte bande originale
de film.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus périlleux
de la longue
et merveilleuse
carrière
de Peter Gabriel
!
Le voici faisant
le maximum pour
s'imprégner
au mieux de
l'ambiance
du film "Birdy"
sous le regard
inquiet de Phil
Collins.
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