Dans
la série deux-pour-le-prix-d'-un
voici en cette belle journée
deux Stabat Mater d'un genre musical
qu'on peut appeler "musique
sacrée". Oui, on peut.
Celui de Pergolèse va bien
avec celui de Vivalde, pardon,
Vivaldi. Tout y est lyrique et
mélodique avec des voix
très prenantes.
Celui de Vivaldi, bien plus court,
est une merveille de mélancolie
dans une suite de mélodies
d’une grande beauté.
Tout est fluide et évident,
beau et triste à la fois.
Le chant est magique, plaintif.
Les cordes évoluent tout
en douceur sur une basse grave.
Mais ce sont surtout les voix
qui bouleversent le plus. Ca te
prend des premières notes
jusqu’au bout de l’œuvre,
tout en retenue. Ah, les voix...
oui, bon, d’accord.
Et qui jouent ces Stabat Mater
pourrais-tu demander pour faire
l’intéressant ? Ce
sont Artur Stefanowicz (contreténor)
et Brigitte Fournier (soprano).
Le tout dirigé par Andrzej
Mysinki, ce qui n’est peut-être
pas primordial car en fait il
me paraît impossible de
massacrer de telles oeuvres.
Et pour conclure je dirai qu'au
fil des nombreuses écoutes
ces oeuvres profondément
lyriques sont de plus en plus
prenantes.
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un autre grand
moment de musique
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Touche-à-tout
de génie, Didier est aussi
chanteur !
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Moi... je construis... des marionnê...
teu...