Quand
t’es en manque de Dream
Theater, Pain Of Salvation ou
autre Haken, il y a Nospùn
pour patienter. On y trouve un
peu de l’un, beaucoup de
l’autre, pas mal du dernier.
C'est complexe bien sûr,
pas loin de la prise de tronche
et y’a les synthés
délirants, les solos de
gratte obligés, des changements
de rythme constants. C’est
calme, puis s’énerve,
puis se calme pour finir. C’est
net, précis, puissant juste
ce qu'il faut, mélodieux,
sans plus, nerveux, avec des titres
qui durent des plombes et bien
sûr tout dans les stéréotypes
du genre et le chanteur n'est
pas forcément celui que
j’attendais et ça
épuise quand même
à la longue...
Ah ! J'allais oublier, c'est du
metal-prog.
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l'image
du jour
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Est-ce
toujours allumé quand Marilyn
a fermé le frigo ?
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Au lieu de poser des questions
à la con ferme plutôt
la porte.
