Dans
la série y-a-toujours-un-truc-de-Morse-dont-on-peut-écrire-quelques-lignes-juste-parce-que-c'est-cool
voici en ce jour béni sa
nouvelle œuvre.
Analysons un peu l’aspect
musical de ce pavé... car,
pour le reste…
Morse, tu dis ?
Oui, un gars qui, il y a quelques
temps déjà, tu ne
t’en souviens peut-être
plus, inventa dans un moment d’intense
inspiration le néo-prog,
c’était pas rien
même s'il n’en restait
pas grand-chose tout à
l’heure quand je décidai
de me lancer allègrement
dans l’écoute de
ce récent CD... enfin,
récent, si tu viens lire
mes lignes guère après
que je les écrive car il
est sûr que depuis il doit
être en train à l’heure
qu’il est d'enregistrer
un énième truc monumental.
"Monumental", le mot
est laché ! Ecoute à
cet effet "The dreamer overture".
Tout y est déjà
dit même qu’on pourrait
ne pas aller plus avant.
Mais,
bon, osons, veux-tu !
Après
on dirait du Spock's Beard mais
quelque peu tumescent, normal,
ce fut son groupe, tu t’en
souviens, il nous bouleversa tant
que depuis je ne sais pas ce que
j'ai fait de leurs disques, dommage,
ils avaient de belles pochettes
!
En outre, Morse va un peu, mais
à peine, vers le metal
avec des vocaux de radio-crochet
manquant quand même de feeling,
des chœurs qui interpellent,
le tout dans le boursouflé,
car il faut toujours en faire
trop.
Et,
comme de bien entendu, c’est
très pro, le son est bien
prog selon le cahier des charges,
y’a même les solos
d'orgue mais malgré son
côté qui se veut
accrocheur, ça reste superficiel,
sonnant comédie musicale
rock-pop-prog-variétoche
et n’accroche pas longtemps
mais peu importe car dans très
peu de mois, on aura droit a un
autre Morse. Chouette !
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l'image
du jour
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Les
plus grands
moments de la
longue et merveilleuse
histoire du
prog !
Neal Morse travaillant
déjà
à son
nouveau chef-d'oeuvre.
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