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My Own Private Alaska
All The Lights On (2024)


Dans My Own Private Alaska, ça crie beaucoup mais y’a aussi beaucoup de piano, c’est rare (le piano, pas les cris).

My Own Private Alaska, c’est triste bien sûr mais, dis-moi, franchement qui ferait aujourd'hui un disque entre du Lagaf et du Carlos, paix à son âme ?

Et, bien sûr, quand il n'y a
que le son du piano au moment où le gars aux vocaux reprend son souffle ça me convient encore.

"All the lights on", c’est romantique et donc, comme pressenti plus haut, c’est dans la mélancolie et je veux bien qu’on l’exprime, ce désespoir qui n’a pas les moyens (comme disait un grand chanteur d'avant, paix à son âme) mais ça souffre un peu trop et comme disait encore un autre : tout ce qui est excessif n’a pas de valeur.

Attention ! My Own Private Alaska n’est pas mauvais et a même le mérite d’être original mais, bon, qui peut supporter ces vocaux pendant plus de 40 minutes... ah bon , toi ?

Tu veux que je te dise : "All the lights on", c’est trop maniéré à mon goût et même au final, un comble, y'a beaucoup trop de piano !