Mùr
Mùr
(2024)
Mùr, avec un accent sinon
on pourrait confondre avec un
groupe français dont
je ferai sûrement plus
tard une chronique, est un groupe
de Reykjavik...
Est-ce important ? Bien sûr
car ça permet d'écrire
correctement le nom de cette
ville et en plus tout le monde
sait que le metal qui vient
d’Islande est différent.
"Mùr" par Mùr,
c’est du metal plus progmetal
que metal... euh... metal et
avec du black-metal, un peu...
et même beaucoup.
Et tout du long il y a, genre
oblige, un gros son, peu d'originalité,
certes, mais ça n'empêche
pas les gars de se la jouer
mélodique bien qu’il
ne s'agisse pas de metal mélodique
car il ne se pratique pas en
Islande.
Tu me diras, toi qui écoutes
les disques avant moi mais viens
quand même lire mes chroniques
(c'est cool) qu'il y a quand
même du growl et pas mal
(enfin, c'est façon de
parler).
Le growl, je veux bien si ça
exprime un malaise et si on
n'en abuse pas mais ici dans
ce "Mùr" par
Mùr, j'ai vite du mal
avec ça malgré
le souci chez Mùr de
créer une réelle
ambiance assez prenante mais
ce n'est pas grave car les Mùr
sont propres sur eux et bien
coiffés sur la pochette
et je ne dirai pas pour conclure
que ce Mùr casse pas
des briques, non, je ne le dirai
pas.