Le Requiem de Mozart n'est pas
loin d'être l'un de mes
préférés
même s'il n'est pas fini.
Je t'explique un peu car il
eut été bon que
tu le susses :
Il paraît que Mozart mourut
pendant qu'il composait cette
oeuvre dans un état proche
de la misère tout en
étant en Autriche. Ensuite
son Requiem fut terminé
sur ses précédentes
indications par un de ses élèves
qui a l'instar de ma belle-soeur
ne gagne pas forcément
à être connu.
Le Requiem de Mozart n'est sûrement
pas le plus théâtral
des Requiem et c'est tant mieux.
Tout repose sur les harmonies,
la finesse des orchestrations,
les voix bien sûr et les
mélodies comme d'hab'
chez ce cher Wolfgang (difficiles
à dire ces 4 mots, non
? Essaie un peu pour voir).
Bref, ici, pas d'effets appuyés
comme dans beaucoup de Requiem
du siècle suivant où
plane une certaine grandiloquence
un peu factice dans un pâteux
un rien complaisant même
si je demande si tout cela n'est
pas un tantinet pléonastique.
L'émotion l'emporte toujours.
C'est plein d'une foi sincère,
plainte d'un artiste face à
l'inéluctable, cette
faucheuse à la con qui
j'espère aura le bon
goût de me laisser au
moins arriver à terminer
les chroniques de la discographie
complète de Iron Maiden...
Des choeurs transportent ailleurs.
Les voix solistes sont lumineuses
; les orchestrations, superbes.
Ce Requiem déborde d'humanité.
Du coup, on peut aisément
dire que cette oeuvre est de
premier ordre et possède
tant et tant d'années
après sa création
un impact indéniable.
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l'image
du jour
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Un
moment dans le quotidien
de Mozart !

Le
voici composant la
Sonate pour piano
no 1
tout en terminant
les mots fléchés
de Télé
7 jeux.
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