Black
album.
Comme la pochette ci-dessus
ne l’indique pas (j'ai mis
autre chose de plus représentatif
de l'oeuvre proposée et
en plus le noir me fout la trouille),
et, bien qu’il soit sans
titre, ce disque s’appelle
aussi "The black album"
car il s’agit de l’album
noir de Metallica. Ouais.
Nevermind.
Cette curieuse chose est sortie
la même année que
"Nevermind", cet autre
chef-d'oeuvre de boucan merdique
pour sourdingues attardés.
Comme quoi il y a des années
comme ça où tout
peut arriver.
Climat
lourdement non-harmonieux.
Ce disque magistral au climat
lourdement non-harmonieux et à
la pochette d'une certaine sombritude
a comme côté positif
de pouvoir faire son plus bel
effet dans le noir sur une étagère
dans la cave entre "The Long
Run" de The Eagles et "Be"
de Pain Of Salvation.
Hippopotames.
En outre, pour faire plus de pèze
en ne s’attirant pas seulement
que le tristement étriqué
metalleux de base bourré
d'acné dans les esgourdes,
Metallica balance des chansons
plus fastoches comme "The
unforgiven" ou "Nothing
else matters" qui sont tellement
étonnantes que j'en suis
aussi surpris que devant des hippopotames
essayant de faire du patinage
artistique.
Trou
noir.
Au final, je me dis que si ces
quatre fantastiques avaient pu
être emportés en
ces temps anciens par un trou
noir, d'un coup, vite fait, ça
n'aurait peut-être pas été
une si mauvaise chose bien qu'en
fin de compte cela eut été
dommage car je n'aurais pas pu
du coup écrire quelques
textes cool sur ce combo indigent
mais fendard.