Metalite
Expedition
One
(2024)
Jusqu’à
présent y’avait
Metallica, maintenant voici
Metalite, et un groupe qui a
un nom pareil, ça ne
se refuse pas même si
lui semble refuser qu’on
l’écoute.
Car le mot Metalite
qui commence par metal
est le nom d’un groupe
loin d'en proposer (du metal).
En fait, ils font un truc entre
la variétoche rock un
rien excitée bas de gamme
et un fugace metal que d'aucuns
appellent "power"
ou "symphonique",
bien que la puissance et le
symphonisme sont aussi présents
ici que de la musique dans le
dernier CD de La Fève.
Pas besoin d’aller vérifier
si tu as des doutes car ce dernier
existe vraiment.
Metalite a un nom qui peut prêter
à sourire et sûrement
pas sa musique que je ne prêterais
pas à un mélomane
averti car, au fil de 16 titres
(oui, 8+8), elle avance, tristounette
dans l’identique au fil
de chansons qui se perdent dans
une instrumentation lourdingue
gonflée d’effets
de synthé à la
noix et avec en malus une chanteuse
qui s'époumone sans feeling
en pure perte.
Ca
s’appelle Expedition
one, j’espère
qu’on aura pas une two.
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un
autre grand
moment de musique
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Les
gars de Scorpions
essayant en vain de
vendre
leurs vieilleries
au vide-grenier du
coin !
- Ne ratez pas
la bonne affaire :
deux euros le lot
!
- Euh, non, un !
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