Voilà
ce qu'a amené la musique
de Stravinsky et Debussy:
Olivier
Messiaen et notamment cette
symphonie nommée "Turangalîla".
C'est sûr qu'on y sent
l'influence des deux compositeurs
susnommés mais dans un
tout autre ordre d'idée
bien sûr, Messiaen y semblant
comme exagérer au maximum
les trouvailles de ses prédécesseurs
en s'éloignant le plus
possible de la musique. Du moins
de la conception que je peux
en avoir.
"Turangalîla",
c'est bruyant, sans harmonie,
répétitif et glacé.
On y trouve une sorte de démesure
sonore d'une complexité
affolante. C'est un mélange
sans fin de piano, d'ondes martenot
(dont la sonorité n'arrange
pas les choses), de percussions
diverses et d'un orchestre symphonique
agressif. Ca court n'importe
où dans un martellement
agaçant pas loin du boucan
sériellement dodé-caca-phonique
où se vautrent ceux qui
ont peur de supporter la même
chose que les autres.
Avec cette symphonie, Messiaen
reste, par moments, encore un
peu dans la musique. C'est gentil
de sa part. Ses suiveurs ne
tarderont pas à l'oublier
définitivement.
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un
autre grand
moment de musique
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Les
instants les plus
pénibles de
la vie de Marilyn
!

Manson
venant de consulter
effet larsen,
le site qui fait mal
aux oreilles.
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