Franchement, je te pose la question
:
Que
resterait-il de Marinette Manson
(qui s'appelait avant :
Marcel Ripolin)
une fois qu'il semblerait comme
débarrassé de ses
peinturlurations ridicules, son
look d'épouvantail à
la noix et ses textes à
la con ? Hein, ho ?
Eh
bien : pas bézef.
Seulement un metal... industriel.
Et pour une fois l'appellation
est justifiée car on a
un truc comme tout droit sorti
d'une quelconque usine à
bruit et indus, avec en malus
quelques effets électroniques
d'un goût douteux.
Et,
dans cet album, la voix monocorde
de Manson lasse assez vite et
les titres ne proposent pratiquement
aucune variation. Le tout avec
des paroles de chansons "sulfureuses"
non pas pour espérer choquer
encore quelqu'un mais parce que
le personnage veut ça et
aussi pour sustenter une chiée
de crétins qui attendent
encore ce genre de discours débile.
Bref, l’ex-peinturluré
ennuie assez rapidement dans un
album hyper téléphoné
et banal où il fait même
plus marrer.
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l'image
du jour
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Nos
amies les bêtes
!
Le
super déguisement
de Marilyn en Mickey
a foutu une
putain de trouille à
son chat Barbouille.
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